28 décembre 2012
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10:24
Depuis l'an dernier, le plat de résistance des repas de Noël ou des repas en famille est souvent un gros plat
qui cuit tout seul et nous offre aussi le repas du lendemain afin de profiter du petit déjeuner qui dure, se répéte et cette année du passage du Pére Noël avec le petitout. C'est confortable et
si bon de profiter de tous !
Gràce au magnifique plat de mon amie Michèle, j'ai opté cette année pour un BAECKEOFFE
Avec wikipédia voici l'histoire de ce plat.
Le mot baeckeoffe (qu'on écrit aussi baeckeofe) signifiant « four du boulanger », il faut comprendre que c’était un plat de la ville, un plat du dimanche[réf. nécessaire]. À la campagne les
boulangers étaient rares car, en général, chaque paysan faisait cuire son pain, une fois tous les quinze jours ou toutes les trois semaines (ce qui donnait l’occasion de préparer la flammeküech). La viande était par ailleurs inaccessible aux plus pauvres, qui mangeaient des pommes de terre avec du
fromage blanc maigre (le bibeleskaas) en semaine et le dimanche, jour de luxe, avec des œufs à la sauce blanche (le kachelmües).
Certains assurent qu’il était à l’origine uniquement strasbourgeois ; dans Les Tilleuls de Lautenbach, Jean Egen rapporte que, quand il fallut préparer le repas qui devait suivre l’enterrement de sa grand-mère, on avait hésité avant de
choisir un baeckeoffe parce que c’était un plat du Bas-Rhin.
Le samedi, donc, à Strasbourg ou ailleurs dans les
familles un peu à leur aise, la maîtresse de maison préparait le baeckeoffe. On laissait mariner puis, avant de partir pour l’église, on déposait la terrine chez le boulanger pour qu’il la fît cuire dans son four après la cuisson de ses pains alors que le four refroidissait; cela pouvait durer
jusqu'à trois heures, les cérémonies étant plus longues qu'actuellement.D´autres sources font état d´un plat du lundi, jour de lessive en Alsace par rapport au dimanche, en Alsace, il est
interdit pour un boulanger de faire du cuire du pain ou de travailler (droit local en Alsace/Lorraine datant de 1870 lors de l´annexion par les Allemands). Le lundi, la ménagère déposait son
Baeckeoffe chez le boulanger avant de faire sa lessive au lavoir et le récupérait une fois sa lessive terminée. Les trois viandes utilisées représentaient les traditions religieuses en Alsace, le
bœuf pour les catholiques, le porc pour les protestants et l´agneau pour la religion juive très présente en Alsace.
30 mars 2012
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19:45
Oui, c'est plutôt un plat d'hiver, pas vraiment de chez moi fille du sud..;
Mais j'avais envie d'essayer cette recette, de profiter de mes invités.
C'est pratique, bon, et puis j'avais chiné cette belle poterie dans les pyrénées pour 5
euros
Il fallait s'en servir, une si belle affaire !!!

27 mars 2012
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19:02
Ce week end Pastilla, Premier essai...
j'ai choisi cette recette extraite de ce livre
Merci Mina et Mr Mari "les cobayes !
Merci Minalili pour les photos ...
J'ai juste remplacé les pigeons par une pintade et j'ai suivi la recette pour la suite ...
Mais je ne suis pas trop forte pour numériser mais je suis là si besoin !
De jolis tabliers vous attendent par là ... MERCI Martine
La boutique
2 mars 2012
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06:34
Je ne connais pas trop de recette au Madère mise à part le Jambon sauce
madère.
J'avais un morceau de palette fumée qui, cuite à l'auto-cuisseur a bien fait
l'affaire.
Une petite sauce comme dans mes souvenirs , une purée de pomme de terre et voilà
un repas de midi improvisé grâce à Roger qui m'a offert une bouteille de Madère
Merci Roger !
Sauce au Madère à ma façon:
Faire revenir des échalotes émincées dans un mélange d'huile d'olive et de
beurre.
Diluer un bouillon cube dans 25cl d'eau, porter à
ébullition, rajouter une grosse cuillère de maïzena (préalablement diluer dans un peu d'eau)
Saler, poivrer suivant votre goût
Laisser mijoter un petit moment afin que le bouillon
épaississe
Ajouter un petit verre de Madère, un pot de crème
fraîche et vos échalotes.
Mélanger et servir aussitôt.
27 décembre 2011
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15:27
7 heures de cuisson pour le gigot de Noël !
J'entendais depuis longtemps parler de ce fameux Gigot de 7 Heures, je n'avais jamais eu l'occasion de
goûter, il fallait donc le faire ...
Le plus difficile, se lever tôt, pour moi cela n'est pas un souci vous le savez
...
J'ai regardé sur le net, les recettes varient, j'ai fait un mix de tout cela
.
Faire revenir le gigot sur toutes les faces dans de l'huile d'olive, une fois bien doré le
retirer et faire revenir les oignons émincés, des gousses d'ail en chemise et les carottes.
Remettre le gigot, ajouter deux verres de vin blanc, deux verres d'eau, un bouillon cube de légumes,
un bouquet garni(thym, laurier, persil) sel, poivre.
Mettre au four 120° dans une marmitte couverte.
7 heures ou plus ...
Je n'ai pas fait de photos, mais il était doré, confit, tout comme les carottes, un délice
bien apprécié de tous.
Lydia a préparé le gratin de pommes de terre , le four était bien occupé
!
27 janvier 2010
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J'en ai parlé en Image Encore gâtée ... voici la recette pour Françoise et tous !
400 g de boeuf à braiser
400 g d'échine de porc
200 g de jambon de corse fumé
3 oignons
3 gousses d'ail
Persil
1 verre de vin rouge
150 de parmesan râpé
Concentré de tomate
Laurier, sauge, thym
Sel, poivre
Huile d'olive
300 g de pâte
Coupez la viande en cubes, le jambon en dés
Emincez les oignons, écrasez l'ail et mélangez avec le persil
Dans une cocotte faire chauffer l'huile d'olive,pour y dorer la viande et l'oignon.
Rajoutez le jambon, une cuillère de concentré de tomate, le vin, le laurier, le thym, la sauge.
Salez, poivrez.
Laissez mijoter 45 minutes à couvert
Rajoutez de l'eau chaude pour couvrir la viande
Continuez la cuisson.
Faites cuire des pâtes que vous servirez dans un saladier avec le parmesan râpé et quelques cuillères de bouillon de cuisson
HUMMM , cela me semble délicieux !
J'ai eu le plaisir de goûter chez Nadine une Soupe Corse qui était aussi une belle découverte ...
25 novembre 2009
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17:47
Une nouvelle carte pour ma collection ,
une recette que j'adore Les oeufs en meurette
...
Pour tout vous dire avant de recevoir la carte, mon amie Martina est arrivée
avec cette bonne sauce toute prête pour le souper de samedi soir un vrai régal !
Merci ma chère Amie et pour les oeufs en Meurette et pour la tarte Tatin elle aussi délicieuse :)
PEARL linkvoulait la recette du lapin à la provençale

1 lapin de 1,5 kg, 3 tomates, 8 gousses d'ail, 1 verre de vin blanc, huile d'olive, estragon, sel, poivre.
Couper le lapin en 8 morceaux, saler, poivrer , faire sauter à feu vif dans une cocotte avec de l'huile d'olive.
Peler ,épépiner les tomates, ajouter les gousses d'ail entières non épluchée et l'estragon .
Mouiller avec le vin blanc, rectifier l'assaissonement et laisser mijoter 30 minutes à feu doux en remuant de temps en temps afin que les tomates n'attachent pas .
Voilà PEARL , tu nous donneras ton avis :)
C'est une carte envoyée par Val link
Françoise et son "Bric à Brac" link
proposait que je fasse la liste
des cartes déjà reçues
afin d'éviter les doublons...
Voilà c'est un début, déjà 14 !
Merci à vous toutes et tous
:)
- La brioche vendéenne
- Les 13 desserts de Noël
- Gâteau de ménage Comtois
- La crique Ardéchoise
- La morbiflette
- Les beignets au Broccio
- Le Fiadone
- La soupe au Pistou
- Le jambon mojettes de Vendée
- La tartiflette
- Le Colombo de poulet
- Les oeufs en meurette
- Le lapin à la Provençale
- Les moules marinières de Vendée
Affaire à suivre ...
20 juin 2009
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Prêt pour le passage au four !
La recette est là ... Les
farcis
19 janvier 2009
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De la couleur, du parfum des petits cadeaux ensoleillés ...
Avec les épices une recette que j'ai testée voici quelques jours ,
Je reviens tout à l'heure vous la donner avec la permission de Séverine !
Ingrédients:
2 oignons
5 cives
citron
2 gousses d'ail 1 piment végétarien
Poulet (en morceaux)
Légumes : aubergines, pommes de terre ou mangues vertes (je n'en ai pas trouvées)
1 cuillère à soupe de poudre de colombo
La veille au soir mettre dans un grand saladier :
Les morceaux de poulet, le jus de citron, les oignons, les cives, l'ail, sel, poivre,thym, laurier, piment et laisser macérer toute la nuit au frais.
Le lendemain, faire revenir dans un peu d'huile (pour moi d'olive) le mélange précédent ,faire dorer la viande en remuant régulièrement;
Une fois le tout bien doré rajouter les aubergines ( j'ai rajouté les pommes de terre plus tard) recouvrir d'eau chaude et laisser cuire environ 30 mn plus quinze minutes avec les pommes de
terre.
Rajouter la poudre de Colombo et laisser cuire une dizaine de minutes .
Le temps de cuisson dépend de la viande j'avais un poulet fermier j'ai laissé plus longtemps .
C'était bon ! Merci Séverine qui vit à la Martinique et qui tient cette recette de sa famille .
J'attends la recette de Champagne qui fait un Colombo délicieux ! Oui ta réputation t'a précédée...
13 décembre 2008
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06:45
Karine si tu as une recette différente, familale avec le petit truc en plus toi qui vis par là ...
Une recette pratique car on peut tout préparer la veille et ensuite il reste à mettre au four pendant que l'on s'affaire pour le reste du repas !
Je n'ai pas de photos à vous montrer au moment du service j'oublie un peu ...
J'ai découvert cette recette chez Sylvie qui l'avait entendue lors de l'émission vivement dimanche avec Jean-pierre Coffe et Gad Elmaleh.
Voici un copier/coller
"Carbonade"Recette de GAD ELMALEH
Ingrédients pour 8 personnes :
1,5 kg de bœuf (dans le paleron, coupé en larges tranches de 5 à 6 mm d'épaisseur, de préférence perpendiculairement aux fibres)
50 g de saindoux 400 g d'oignons
1 bonne cuillerée à soupe de cassonade
1 cuillerée à soupe de vinaigre de vin balsamique
1 bouquet garni (2 branches de thym, 1 feuille de laurier)
50 cl de bière blonde (voire plus selon la taille du récipient)
2 cuillerées à soupe de moutarde blanche forte
1 large et fine tranche de pain de campagne au levain
Sel fin, poivre du moulin
Préparation et cuisson :
Dans une cocotte, sur feu moyen, dans la moitié du saindoux, saisir aller et retour les tranches de viande, les retirer, vider la matière grasse.
Remettre la cocotte sur feu doux, avec le reste de saindoux, faire fondre les oignons finement émincés, en couvrant et en secouant de temps à autre le récipient, environ 10 à 12
minutes.
Leur ajouter la cassonade et le vinaigre, remuer 2 à 3 minutes. Les retirer avec l'écumoire.
Préchauffer le four à 150 degrés.
Disposer dans la cocotte, en couches alternées, des oignons et des tranches de viande, en plaçant le bouquet au centre. À épuisement des ingrédients, arroser avec le jus qu'elles ont rendu
pendant qu'elles étaient en attente, puis peu à peu avec de la bière, laquelle doit arriver à hauteur (au besoin en prévoir plus). Saler et poivrer.
Tartiner de moutarde, sur les deux faces, la tranche de pain des tranches de pain d'épices, les poser sur le contenu de la cocotte.
Couvrir.
Introduire dans le four, laisser cuire 3 heures.
Servir avec des frites ou des pommes de terre cuites à la vapeur
J'ai mélangé les cultures en accompagnant la carbonade de polenta ...
Désolée !
Pour la petite histoire ... Aujourd'hui on ajoute souvent au nom un second « n », qu'il
ne possédait pas dans le passé. Mais comme autre-fois, la carbonade - loin d'être une grillade comme ce nom pourrait le laisser supposer - est un plat de longue cuisson, avec l'alliance
chère aux Flamands, celle du sucré et du salé.
Pour la réussir, il faut savoir choisir la viande de bœuf, ni un morceau trop noble qui sèchera, ni un morceau de troisième catégorie qui ne pourra s'attendrir. Sont recommandés: les
basses-côtes, la tranche, le paleron, voire, pour les amateurs de fibres longues, la hampe ou la bavette d'aloyau.
Autrefois on ne couvrait pas avec une tartine de pain, mais avec une fine tranche de couque (pain d'épices), la moutarde étant quand même de tradition.
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